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Le noyau dur 

La vie d'une compagnie, c'est toujours mouvant et plein de surprises, et même si il y a eu plusieurs départs et arrivées depuis sa création en 2016, c'est important pour nous d'affirmer notre super noyau dur actuel composé de 6 femmes aux parcours singuliers et riches, qui travaillent au quotidien pour faire vivre ce bel outil de travail associatif ! 

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Céline Chatelain

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Gaëlle Hauger

C'est vers la fin de ma formation universitaire en Arts du spectacle que j'ai commencé à vouloir entrer dans le vif du sujet, et surtout apprendre ce que l'école ne m'avait pas appris : c'est quoi la vie de compagnie ? Comment on monte un spectacle concrètement ? Et surtout, comment on affirme une identité artistique et politique au travers de son travail ? C'est à ce moment là que j'ai rencontré Céline et que ma vie professionnelle a réellement commencée, pleine de toutes les aventures et rencontres accumulées les années auparavant, comme par exemple le DEUST théâtre à Besançon, mon année de Master au Portugal ou encore mon semestre de recherche à Rio de Janeiro au Brésil. J'ai aussi tenté de créer des ponts entre mes compétences d'animatrice socio-culturelle (j'ai eu le BAFA à 17 ans!), mes outils d'éducation populaire (découverts grâce à l'association Léo Lagrange), et la matière artistique déjà présente dans la compagnie. C'est comme ça qu'année après année, toutes ces casquettes s'affinent et se teintent les unes les autres, pour mon plus grand bonheur !

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Adèle Ratte

Les marmelades artistiques dans lesquelles j’ai trempé: Le collectif La Francomtoise de rue qui fut une initiation au théâtre populaire, sur le vif, créé collectivement en urgence dans un contexte de pandémie; la création du Cabaret LIP avec deux amies chères et l’arrivée dans la compagnie l’oCCasion (la compréhension de cet outil précieux ainsi que de notre fraîche équipe de femmes bulldozers), un travail d'interprétation pour 2 seule-en-scène (Cie Un Château en Espagne et Les Scènes du jura), qui m’ont fait creuser plus profondément le jeu d’actrice, le lâcher-prise et la responsabilité quant à tenir le morceau jusqu’au bout; enfin une envie d’hybridation : du théâtre oui, mais avec du mouvement, brut, dansé, de l’improvisation et beaucoup de sueur. Mon gloubiboulga préféré : des formes pluridisciplinaires, collectives, accessibles, se mettant au service d’un propos théâtral et politique; qui stimulent et rentrent dans le lard !

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Elise Hudeley

Après une orientation erronée dans le twirling bâton à 10 ans, je découvre le théâtre dans la salle communale de Saints-Geosmes en ateliers d'impro. C'est le grand amour, ça ne me lâche plus et très vite j'explore mes premiers amours du théâtre de rue !
En 2020, après une rencontre décevante avec Freud sur les bancs de la fac, je participe aux Folles Echappées des Fous de la Falaise, un projet itinérant de la Francomtoise de rue. Là, plus de doute : le théâtre j'y fonce, avec le fun, les peurs, les questions en boucle, les rencontres sincères et parfois improbables que ça implique ! 


Et me voilà aux côtés de L'oCCasion, dans une team de pures meufs, et quelquefois à ceux d'autres compagnies, plutôt du côté rue (Pudding Théâtre, Gunnar Olof), en étant parfois un peu musicienne sur les bords.
J'ai très envie de continuer à chercher, farfouiller, creuser et notamment du côté des créations à plusieurs, mélangeant les arts et les pratiques, en ayant une posture de comédienne-créatrice ; faire du théâtre un lieu de lien, de rencontres et d'échanges. Et bien sûr vers le théâtre de rue, que j'aime aussi fort que le tiramisu.

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Jeanne Jambey

On m'a longtemps fait croire qu'il y avait un temps pour jouer et un temps pour travailler. Certaine de l'erreur du dicton ou par contradiction, je me passionne pour le théâtre.

 

Je manque de perdre cette conviction à cause de cursus scolaires asphyxiants, mais suis sauvée par un voyage au Brésil. Là-bas, je me passionne pour la danse, la capoeira et la performance, renouant ainsi avec mes premières intuitions.

À mon retour, je croise l'équipe de la Francomtoise de Rue, qui m’embarque sur les chemins de ses folles aventures auprès de personnes passionné.e.s qui ont su me transmettre leur amour de la rue.

 

Les ailes bien remplumées et l'imaginaire rempli d'aventures collectives et artistiques, je me jette à corps perdu dans la création, à la recherche d'espaces d'expression, de crash tests, de savoirs brûlants, d'arts qui se mêlent et s'entremêlent, à découvrir, à inventer et à transgresser.

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Noémie Dorchies

Après un baccalauréat avec option théâtre au lycée de Salins les Bains en 2008, je continue dans la voie théâtrale en DEUST Théâtre à Aix-en-Provence, puis je poursuis avec une licence en interdisciplinarité de l’art à L’UQAC à Chicoutimi (Québec).

Je découvre alors le théâtre mais aussi le cinéma, les arts-plastiques, et rencontre de nombreux professionnels de
théâtre. Je rentre en France en 2012, à Besançon, et commence à travailler avec plusieurs structures différentes. En 2015, je reviens aux études et obtient un B.T.S en assistanat de direction. Je travaille ensuite dans l’accompagnement administratif et financier. Un pied dans le milieu associatif et culturel ; et un autre pied dans le milieu des agences de publicités. Durant 8 années. Après la période Covid, beaucoup de choses changent. Et je décide alors de me consacrer exclusivement à mon travail auprès de l’accompagnement en administration et production pour les compagnies de théâtre.

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